Dans l'éclairage diffuse d’une aube teintée de rose, les contrées des contes de fées s’éveillaient avec la douceur intime aux légendes d'autrefois. Les plaines brumeuses, où la aiguail perlait sur chaque larme d’herbe, dissimulaient mille croyants que seuls les êtres sensibles pouvaient détecter. Au bout de ce quatrième chapitre, la https://yehudas331obo4.losblogos.com/profile