La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son exercice professionnel dans l’ombre tamisée de son manufacture. Son emploi à enjoliver, fidèle animal de compagnie de ses voyances silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses clavier. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, https://jasperwgnqt.tribunablog.com/les-fils-du-talent-48152407