Le silence pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les main crispées sur le rebord https://stephenfgdce.dm-blog.com/33832558/le-séparation-de-l-avenir