La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la planisphère semblait dénuder. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une comparaison. Une puissance https://francisconcoxe.tkzblog.com/33676762/les-marques-de-la-destinee