La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait immobile, adoptant l’immense machine d’acier tragique qui sifflait doucement, prête à https://louisogufn.bloginwi.com/67610210/le-train-sans-renouveau