Sous la vaste circulaire translucide du dôme martien, les jours s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids idéal des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, lentement mouvantes, comme par exemple une vapeur dense qui refusait de évaporer. Ces portraits, nées des regrets cachés et non https://caidendnwcg.total-blog.com/l-éveil-du-dôme-59536379